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18/04/2014

Pépère et les quéquettes

(Ce billet est le troisième de ma série sur la Bible)


Dans Pépère et Maurice, le premier billet de la série, nous avons vu à quel point YHWH — aka Pépère — était un magicien foireux, un genre de Garcimore mais sans humour. Dans le deuxième (Dieu est un tyran sanguinaire) j'ai mis l'accent sur sa propension à faire mourir ses ouailles sous des prétextes fallacieux.

Dans ce troisième et dernier billet de la série, je vais plus précisément m'attacher à démontrer à quel point les mœurs sexuelles de Pépère sont celles d'un délinquant queutard névrosé aux multiples refoulements, et ce à travers ce qui est écrit, mais aussi ce qui est tu. Le tout ponctué, en guise de final, d'un brin d'histoire assez croquignole.

16/04/2014

Dieu est un tyran sanguinaire

(Ce billet est la suite de "Pépère et Maurice : les conneries de l'âge de bronze")


Pépère [1] — dans son infinie grosse sagesse pataude et sadique de rustaud psychopathe, pudiquement masquée sous les dehors d'un salaud rustique et sanguinaire aux mœurs barbares — n'aime rien tant que faire souffrir son prochain, et tant que faire se peut, l'occire. Le plus souvent, il recourt à la lapidation, mais ne dédaigne pas, à l'occasion, de faire passer ses ennemis « au fil de l'épée. »

On pourrait croire que puisque ses "ennemis" sont promis à une damnation éternelle, Pépère pouvait se contenter d'attendre paisiblement le petit nombre des années qui les séparent de la mort ! Mais non ! Ce serait trop facile ! Ou bien y aurait-il une autre raison ? Comme par exemple le fait qu'il sache pertinemment qu'il n'y a pas d'au-delà.. ou que lui-même n'existe pas ? Et que, partant, la vengeance doive se consommer sur place, plutôt qu'à emporter ?

11/04/2014

Pépère et Maurice : Les conneries de l'âge du bronze

En vérité je vous le dis, depuis le temps que je savais devoir dépasser ce que Desproges m'avait appris de la religion et que je savais devoir entreprendre ce long et fastidieux travail — car enfin, on ne combat efficacement que ce qu'on connaît bien — ça y est :

J'ai lu le Pentateuque !

Alléluia !

Gloria in excelsis Deo !