Je suis voué à la damnation éternelle ! En effet, dans un tweet [1], j'ai "linké" vers un article du Canard Enchaîné que Chouard avait mis en ligne. Qu'avais-je donc fait là ?
Car Chouard est certes une merde très trouble (c'est un euphémisme), mais par le simple fait qu'il ait reproduit un article du Canard, par capillarité, ledit Canard lui aussi devient infréquentable ! Cette règle est bien connue de ces petits censeurs de joie, ces mètre-étalon de la pensée sénile et manichéenne abrutie de bière tiède que sont les #antifa.
À leurs yeux bovins je suis donc, par transitivité, un monstre fasciste à tendance crypto-nazie, ceint d'une auréole de franquisme le plus vil, qu'atténue à peine mon amour généralement peu expansif pour tous les Pinochet de carnaval.
Amen !
Car ces merdes sans cerveau savent bien eux, que si le voisin du dessous du frangin du maire FN dit "Il y a trop de voitures dans cette ville", il faut séance tenante et immanquablement dire "Vite, plus de voitures dans nos villes !" sous peine d'être voué aux gémonies crapoteuses de leurs anti-fascisme d'opérette.
Malheureusement, le tweet est limité à 140 caractères, mais je m'imaginais - benêt que je suis - que mes opinions (il est vrai si rarement exprimées) me dispensaient d'un deuxième tweet précisant bien "Lisez juste l'article, et oubliez les 3 lignes de Chouard".
Car c'est pourtant ce que je fais quand un luxe de caractères inutilisés m'en donne l'occasion. Je l'ai fait par exemple quand j'ai proposé un lien vers un essai de Christopher Lasch (mais je n'imagine pas une seconde que ce sociologue puisse faire partie de la culture étriquée et à colorier des antifa en bouse de vache séchée) en précisant bien que l'intro de Michéa était de la merde ! (Ah ? avec un peu de chance, peut-être que ces dégénérés, ces mous du bulbes ont l'impression d'avoir confusément entendu ce dernier nom ?)
Mais c'est faire trop d'honneur à ces pois-chiches en jachère de la pensée politique que d'essayer de leur expliquer ça !
Mieux vaut les bloquer et les laisser s'entre-épurer ! Quand il n'en restera plus qu'un, un vrai de vrai, peut-être le débloquerai-je, pour voir combien il a de bras !
Notes
[1] que j'ai supprimé entretemps. En voici une copie
Car Chouard est certes une merde très trouble (c'est un euphémisme), mais par le simple fait qu'il ait reproduit un article du Canard, par capillarité, ledit Canard lui aussi devient infréquentable ! Cette règle est bien connue de ces petits censeurs de joie, ces mètre-étalon de la pensée sénile et manichéenne abrutie de bière tiède que sont les #antifa.
À leurs yeux bovins je suis donc, par transitivité, un monstre fasciste à tendance crypto-nazie, ceint d'une auréole de franquisme le plus vil, qu'atténue à peine mon amour généralement peu expansif pour tous les Pinochet de carnaval.
Amen !
Car ces merdes sans cerveau savent bien eux, que si le voisin du dessous du frangin du maire FN dit "Il y a trop de voitures dans cette ville", il faut séance tenante et immanquablement dire "Vite, plus de voitures dans nos villes !" sous peine d'être voué aux gémonies crapoteuses de leurs anti-fascisme d'opérette.
Malheureusement, le tweet est limité à 140 caractères, mais je m'imaginais - benêt que je suis - que mes opinions (il est vrai si rarement exprimées) me dispensaient d'un deuxième tweet précisant bien "Lisez juste l'article, et oubliez les 3 lignes de Chouard".
Car c'est pourtant ce que je fais quand un luxe de caractères inutilisés m'en donne l'occasion. Je l'ai fait par exemple quand j'ai proposé un lien vers un essai de Christopher Lasch (mais je n'imagine pas une seconde que ce sociologue puisse faire partie de la culture étriquée et à colorier des antifa en bouse de vache séchée) en précisant bien que l'intro de Michéa était de la merde ! (Ah ? avec un peu de chance, peut-être que ces dégénérés, ces mous du bulbes ont l'impression d'avoir confusément entendu ce dernier nom ?)
Mais c'est faire trop d'honneur à ces pois-chiches en jachère de la pensée politique que d'essayer de leur expliquer ça !
Mieux vaut les bloquer et les laisser s'entre-épurer ! Quand il n'en restera plus qu'un, un vrai de vrai, peut-être le débloquerai-je, pour voir combien il a de bras !
Notes
[1] que j'ai supprimé entretemps. En voici une copie