Illustration aléatoire [2] |
Nicozy Sarkola [1] — également connu sous le nom de "p'tite bite" — ayant peur de perdre son accès au château des Lysée par la colère du bon peuple, n'eût jamais le cran de mettre en place toutes les réformes dont il se rêvait grand ordonnateur. Car oui, sa grande gueule, sa haine du pauvre, son inculture, sa vulgarité, et ses tics de chihuahua cocaïnomane n'avaient d'égal que son "couille-mollisme" de petit caïd de cour de récréation dans une école privée de Bazouges-La-Pérouse ou Plounevez-Moëdec ! (C'est dire le niveau de violence qui doit s'en dégager)
Aussi, par un beau matin de 2011, fût-il saisi au réveil non pas d'une bien légitime érection mais d'une idée diabolique. Son plan allait certes avoir le désagréable inconvénient de l'empêcher d'accéder au Château pendant quelques temps, mais — en tous cas, l'espérait-il — il lui permettrait au bout de cinq petites années qu'il comptait passer à écouter glousser bobonne et engranger le pognon des cons qui aimaient se réunir pour rire ensemble en écoutant, dans de grandes salles capitonnées, ses rodomontades gesticulatoires et désarticulées de nain hystérique économiquement illettré, il lui permettrait, disais-je, de regagner le Château des Lysée, avec une France apaisée car abrutie d'avoir tant été éreintée, blackboulée, meurtrie, trahie. Une France qui ne pourrait plus ni s'asseoir ni gueuler tant elle aurait mal et au cul, et au crâne à force de félonies recto-intrommissives commises en son nom et en son fondement !
Image au pif |
P'tite bite appela donc bien vite son grand ami Serge constructeur de grilles-pains volants invendables, qui à son tour contacta son grand ami Moscouvichy. Ils organisèrent alors à l'Automobile-Club un grand dîner festif et assez peu frugal, où ils décidèrent de concert, avec près de 200 amis, d'un plan machiavélique qui se déroulerait pendant toute la période 2012 - 2017, et qui aurait pour but la destruction généralisée de tous les derniers acquis sociaux encore existants, légués par cette horde bolchevique qui prit alors le nom de CNR.
Il fût donc "acté" (comme disent ces putasses en costard à 2 ou 3 SMIC) que P'tite bite — non sans avoir auparavant fait semblant de se battre — laisserait sa place à Grosse Bite, au cours d'un simulacre de combat des chefs que dans nos contrées nous nommons pompeusement élections démocratiques. Ledit Grosse Bite étant abusivement taxé d'homme de gauche par tous ces cons de prolos TFunisés, il lui reviendrait de mettre une jolie musique pendant qu'il fouraillerait comme un sagouin dans notre filet social.[3]
Photo quelconque |
Trop content, Grosse bite s'en fût fêter ça dignement en culbutant une dame qu'il n'aurait pas dû, vu qu'elle ne s'appelait pas Anne. Et c'eût bien pu être la fin de l'histoire s'il ne s'était trouvé tout un tas de petits cons utiles qui n'assumaient pas d'être de vulgaires petits bourgeois de droite et qui se battirent donc "pour y aller". Au final, c'est un bon gros pépère mollasson fils de facho qui l'emporta, mais cela n'avait aucune espèce d'incidence sur le déroulement du plan.
Tout est donc bien qui finit bien, et P'tite Bite ou l'un de ses potes va pouvoir retourner occuper le château des Lysées en 2017, dans une France ravagée par la misère, le communautarisme, la xénophobie, la précarité, la délinquance, voire l'esclavage.
Mais, ma bonne dame, il faut bien ça pour pouvoir finir d'extorquer les dernières petites piécettes qui traînent encore au fond des poches de ces enculés de pauvres !
Notes :
[1] Les noms des protagonistes ont été modifiés pour préserver leur anonymat (et aussi pour rendre ce conte aussi magique que possible — c'est vrai quoi, ça rimerait à rien un conte avec, par exemple, Sarkozy dedans !), et tout ressemblance avec des personnages ou des faits existants ou ayant existé serait bien évidemment logique, mais également souhaitable ! Bien que le fruit du hasard ! .. Ou pas ! Va savoir !
[2] Notre algorithme surpuissant est parti tout seul chercher des photos rigolotes sans aucun rapport avec le sujet de notre conte !
[3] Je voulais faire une phrase avec "mettre en branle", mais j'ai pas trouvé comment l'amener discrétos !